Petit ChêneThéâtre

 « Une comédie dramatique, inquiétante et désopilante, révoltante et hilarante, entre Kafka et Courteline. Un poste-frontière dans un village perdu de la Russie tsariste (mais la scène pourrait se dérouler à n’importe quelle époque dans n’importe quel pays…). Un douanier austère, pénétré de l'importance de sa fonction ; une vieille fille généreuse en mal d'émigration. Laissez-vous entraîner dans ce huis clos inattendu et révélateur. »

Béatrice Leroi, une bourgeoise d’âge mûr, se présente spontanément à la police criminelle. Elle veut faire « des révélations ». Une fois arrivée dans le bureau de l’inspectrice Carel, elle hésite et s’apprête à tourner les talons. L’inspectrice subodore une affaire grave. Elle va alors user de tout son art pour faire parler Béatrice.

Entre polar intemporel et huis-clos psychologique, duel captivant entre une inspectrice obsessionnelle et une femme menacée. Cette pièce a gagné le concours de l’école de théâtre « Les Trois Coups », à Paimpol.

« Un drame policier c’est bien sûr avant tout une intrigue, mais c’est aussi, et c’est ce qui m’intéresse, une exacerbation des faiblesses humaines poussées jusqu’à leur extrême », l’auteure Adda Vernet.

Pourquoi l’existence de l’âme est-elle une évidence pour les uns et une pure invention pour les autres ?

Les religions et l’art ont beaucoup étudié l’âme. Les philosophes également. Même la science a tenté de comprendre cette composante.

Pour autant, elle reste un mystère. 

Alors, le mieux c’était de demander directement à une âme de venir nous dire elle-même qui elle est, d’où elle vient, pourquoi elle est là, de nous raconter son voyage dans le temps qui n’a pas de temps et dans des mondes sans frontière. Pour que, plus jamais, les hommes ne puissent dire : c’est quoi une âme ?

L’idée n’est pas de percer le mystère mais avoir le point de vue de l’intéressée, comme on dit…

Les oeufs vous proposent une soirée improvisation théâtrale ! Au programme ? Des comédiens et comédiennes qui n'ont aucune idée de ce qu'ils vont vous jouer, tout ce qu'ils savent c'est que ce sera drôle, surprenant et épatant. Comment être sûrs qu'ils improvisent ? Ils vous mettront à contribution afin de leur donner des thèmes sur lesquels vont se baser leurs improvisations. Rendez-vous en famille, entre amis ou bien seul pour passer un excellent moment !

Si vous aimez la chanson française : Ferré, Brel, Renaud, Lavilliers, Cabrel, Higelin, Bashung, Souchon, Miossec, Arno, Daniel Darc ou... Salvatore Adamo vous êtes (peut-être ?) au bon endroit. Si vous aimez la chanson anglo-saxonne : U2, Patti Smith, Les Clash, Springsteen, Nick Cave, Simple Minds, Waterboys vous êtes aussi (peut-être ?) au bon endroit. Si vous n'aimez rien de tout cela... je vous invite à rester quand même... (on ne sait jamais).

Une guitare et un peu de voix, des samples, boites à rythmes... le reste : les magnifiques textes et musiques de Cali, (auteur-compositeur-acteur-écrivain-amoureux... engagé... enragé), que je me suis permis d'arranger avec le plus grand respect et... dans "L'amour Parfait"... JP Gauthier

La Bécasse est un oiseau qui symbolise la sagesse, la discrétion et la perspicacité elle nous invite à écouter notre intuition et à suivre notre propre chemin, à s’ouvrir à la beauté de la nature et laisser libre cours à notre imagination …. Tout un programme !

Compositions originales et reprises de titres de grands auteurs (Boris Vian, Brigitte Fontaine, Brel… ) agrémentent un répertoire satirique où il est question de force vitale, d’intériorité, d’existentialisme...le tout mené avec sensibilité, humour et ironie, les chansons sont portées par une esthétique, une scénographie léchée et deux personnages hauts en couleur ! 

Pour Marianne. Parlerie grave et joyeuse d'un frère pour sa soeur trisomique.

Le metteur en scène et comédien évoque la vie de sa petite sœur Marianne. Sous le titre Le Malheur innocent, un moment grave et beau. Marianne. La dernière d'une fratrie composée en deux mouvements : les années trente, les années quarante. Jean-Louis Hourdin est l'avant-dernier. Il pense que ses parents voulaient absolument une fille pour remplacer leur aînée, tuée par le bombardement américain des usines de Billancourt, plusieurs années auparavant, alors qu'elle venait de mettre à l'abri ses frères et sœurs dans la cave de la maison.

Un humour qui frappe juste. Les deux personnages, Mirabelle et Anna avec une grande complicité et une énergie contagieuse nous livrent un message fort, sans jamais se prendre au sérieux.

Derrière les éclats de voix et les traits d’esprit, le spectacle nous montre la puissance de l’expression féminine : audace, solidarité et liberté d’être soi. On rit de soi et de tout, mais toujours avec finesse et auto-dérision.

Ce spectacle drôle mais aussi percutant nous promet des rires sincères et peut-être aussi quelques larmes...